Si Gérard Fromm n'est pas capable de défendre son bilan, c'est qu'il n'est plus capable de défendre notre ville : voici la réaction d'Arnaud MURGIA face à l'annulation du maire sortant du débat politique de ce jour Alpes1/Dauphiné :
Communiqué :
Après la réforme des rythmes scolaires l’année dernière pour laquelle il était passé outre l’avis de 7 des 8 groupes scolaires de la ville, le comité “Ville Santé OMS” duquel il avait mis au banc abruptement son propre 3ème adjoint et l’un de mes colistiers ou encore le dernier conseil municipal où il n’avait rien trouvé de mieux à faire que de qualifier l’opposition de “SS”, Gérard Fromm montre à nouveau son goût peu prononcé pour la démocratie en refusant à la dernière minute le débat municipal proposé par deux de nos médias locaux, alors qu'il l'avait pourtant initialement accepté.
Je tiens à dénoncer cette attitude à la fois surprenante et irrespectueuse du maire sortant, à moins de 15 jours du premier tour.
Je suis atterré par ce refus du débat et de l'échange, projet contre projet.
Le maire sortant n'a-t-il rien à dire aux Briançonnais ?
Craint-il de s'expliquer sur son bilan ?
A-t-il peur de notre vision de Briançon, ou pire, n'a-t-il aucune vision à porter, à défendre, après 5 ans de mandat ?
En tout état de cause, son refus persistant de répondre aux questions qu'on lui pose ne fait que confirmer le manque d'ambition qu'il affiche pour notre ville.
Cette attitude est un mélange de mépris, mépris pour celles et ceux qui attendent des ré-ponses de sa part, et d'arrogance, celle d'un candidat qui se pense installé dans le fauteuil de maire et au-dessus du débat démocratique.
C'est aussi, et surtout, un véritable aveu de fébrilité : le maire sortant a bien compris qu'il avait plus à perdre qu'à gagner en venant débattre avec moi.
Accablé par un bilan catastrophique, incapable de répondre aux contradictions de sa poli-tique sur les hausses de charges qui pèsent sur les Briançonnais, le maire sortant n’est, aujourd'hui, pas capable de défendre ses 4 années de mandat
En un mot, il n'est plus capable de défendre les Briançonnais, de défendre notre ville.
Il fait aujourd'hui un bel aveu d'échec, le disqualifiant pour exercer un mandat qui est, par nature, celui du débat, de l'échange, de la proximité.
Le 23 mars, c'est dans les urnes, par la voie démocratique, que les Briançonnais mettront fin à ces 5 années d'immobilisme, pour faire le choix du changement, du dynamisme, du dialogue et de l'ambition pour Briançon.
Arnaud Murgia, candidat UMP-UDI à la mairie de Briançon
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